1: Audacieuse, Bénie, et Belle
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Tandis que je cours sur le tapis roulant, je ressens l'excitation de voler haut.
La sueur coule de mon visage jusqu'à mon décolleté. Les gros seins sont un tel tracas en matière d'exercice et de transpiration. Mais quand même, j'espère que lorsque je perdrai du poids. Je garderai mes gros seins.
Je suis amoureuse d’eux.
Dix pas de plus au nom de la perte de poids!
Neuf... huit... sept... six... cinq... merde... deux de plus... un de plus et le dernier...
J'appuie sur stop pour reprendre mon souffle.
C’était une séance d’entraînement très exigeante aujourd'hui. Je jette un coup d'œil à l'horloge.
Plus d'une heure.
Pas mal.
Je change et me dirige vers la maison. En sortant, je ne peux m'empêcher de jeter un coup d'œil dans le miroir. Je n'aime pas ce que je vois.
Je suis plus grosse qu'avant.
J'ai toujours été une fille aux formes généreuses. Mais après l'opération, je ne tombe plus dans la catégorie des filles rondes. Je suis grosse. Je sais que je travaille dur. Mais je ne vois aucun changement en moi. C'est si décourageant. Peut-être que j'ai besoin de passer plus d'une heure ici. Mais avec tant de responsabilités. Je ne trouve pas le temps de prendre soin de moi.
Je me frotte le visage en signe de frustration. Je me lève si tôt pour faire tellement de choses et j'essaie d'intégrer tout ça dans mon emploi du temps chargé.
Est-ce que je me néglige?
Daniel et moi nous éloignons l'un de l'autre. Nous passons à peine du temps ensemble ces jours-ci. J'espère qu'il est juste occupé, et que cela n'a rien à voir avec mon apparence. Mes épaules s'affaissent alors que je sors de la salle de sport en me sentant pire qu'avant. En sortant, mon instructeur de gym Alyssia me remarque.
"Jeanne... Que se passe-t-il?"
Oh non...
Je ne veux pas pleurer devant elle.
"Rien" Je lui offre un sourire forcé.
Elle sent mon malaise et dit, "Tu travailles dur, chérie. Arrête de trop penser et reste dans ton routine."
"Cela fait 6 mois!" Je m'exclame de frustration.
Elle fronce les sourcils. " Hmm... Vérifions ton dossier."
Elle m'emmène vers son bureau et vérifie mon rapport de progression au cours des mois passés.
Elle plisse les sourcils en vérifiant mon dossier et dit, "Hmm... J'ai un doute Jeanne... Tu sais quoi... Rendez-toi chez ton gynécologue et demande un dépistage des SOPK."
Je respire profondément.
SOPK!
Mon visage pâlit.
Mais je n'ai aucun symptôme. Ou en ai-je?
Oh non…
J'ai effectivement des règles irrégulières, mais cela n'arrive que parfois. Cela pourrait arriver pour n'importe quelle raison…
Rien de plus.
Alyssia voit mon trouble intérieur et prend ma main pour me réconforter.
"J'ai des OPK. C'est difficile, mais gérable. De plus, ne saute pas aux conclusions. Tu dois faire ton dépistage et test."
Je hoche la tête et dis d'une voix timide, "Je suppose... c'est mieux que de ne pas savoir ce qui ne va pas avec moi."
"Et chérie, tu as donné un foutu rein il y a à peine un an! Alors aie de la patience. Il est possible que ton corps prenne juste plus de temps pour guérir, et que cela n'a rien à voir avec les OPK."
Les larmes me montent aux yeux, et je me confesse. "C'est… C'est juste que... Daniel et moi ne passons pas de temps ensemble. J'ai l'impression que c'est parce qu'il pense que je suis moche maintenant."
"Noooon. Ne pense pas comme ça... Tu es belle…" elle insiste.
Mais j'ai du mal à y croire.
"Hey Magnifique," une voix vient de derrière nous et je me retourne. C'est le petit-ami d'Alyssia, Joaquin. Il m'appelle toujours Magnifique. Je rougis.
"Pourquoi si triste?" Il demande, remarquant mes yeux rougis.
"Elle pense qu'elle n'est pas belle. Parce que son fiancé ne lui porte pas attention.."
Il fronce les sourcils. "Tu sais que je t'appelle magnifique pour une raison. N'est-ce pas?"
Je rougis encore plus. Il a raison, cependant. Même si je suis grosse, je reçois encore beaucoup de compliments.
«Tu es putain de mignonne. Dès que Alyssia me lourde, tu es mon prochain arrêt,» dit-il et Alyssia frappe son bras.
Oui, j'ai déjà entendu ce compliment de nombreuses fois.
«Surprends ton fiancé avec un moment coquin! En tant qu'homme, je peux garantir que tous les hommes aiment le sexe.»
Mes yeux s'écarquillent. «Ouais, bien sûr...» Je bafouille des mots de gêne et m'échappe rapidement. Alyssia et son petit ami chuckled derrière moi.
«Ne sois pas vulgaire Jeanne. Fais l'amour ce soir! » Alyssia crie pour m'embarrasser encore plus.
Mes joues brûlent, mais je comprends le message.
Ce n'est qu'une période creuse. Je devrais surprendre Daniel ce soir et passer un moment coquin.
Tout ira bien.
......
Je porte ma lingerie la plus sexy et une magnifique robe blanche avec un décolleté profond. Je quitte pour l'endroit de Daniel lorsque je suis satisfaite de mon maquillage et de ma coiffure.
Mes cheveux blonds sales, doux comme de la soie, tombent sur mes épaules. Je porte un corset pour rendre mes courbes visibles.
Joaquin avait raison. Je suis belle si je fais attention à moi.
Alors que je commence à conduire vers l'endroit de Daniel, une étrange nervosité monte en moi.
Je suis audacieuse, bénie, et belle.
Je répète mon affirmation dans mon esprit pour me calmer. J'arrive à sa place et remarque que sa voiture n'est pas là. Il n'est pas encore rentré à la maison. Je déverrouille sa porte et me demande si je devrais le surprendre nue ou simplement m'allonger dans son lit en lingerie.
Mais pour une raison quelconque, ma joue brûle rien qu'à y penser. L'idée semble excitante, mais j'ai perdu beaucoup de confiance après cette opération de l'année dernière.
Je respire profondément et répète mon affirmation encore et encore.
Je suis audacieuse, bénie et belle.
Je suis audacieuse, bénie et belle..
Je suis audacieuse, bénie et belle…
Je suis belle dans cette robe. Je devrais l'attendre dans le salon.
Après un moment, la porte principale se déverrouille et j'entends une fille rire avec lui dans le couloir. Je retiens mon souffle quand je vois ma demi-soeur Naoko. Ils s'arrêtent en me voyant dans le salon.
"Oh, Wow Jeanne... Quelle surprise !" Daniel s'approche de moi pour m'embrasser. Je me mets sur la pointe des pieds pour l'embrasser, mais il évite cela et m'embrasse sur la joue.
Sur la joue...
Ne veut-il plus m'embrasser ?
Je secoue la tête. Je pense trop. Ce n'est pas le cas.
Je me concentre sur Naoko et la regarde avec des questions dans les yeux.
Que fait Naoko ici ?
Elle est silencieuse. Je ne suis pas sûr de l'imaginer ou si elle me regarde et ma tenue avec mépris.
"Nous allions prendre un verre. J'allais aussi te le demander." Daniel précise.
Ils travaillent ensemble. Ils sortent tout le temps ensemble pour déjeuner et prendre des verres. C'est correct. Je ne devrais pas trop y penser. Je me le dis à moi-même.
Pourquoi me regarde-t-elle comme ça ?
Mais qui s'en soucie? Elle ne m'a jamais aimé, de toute façon. C'est tout ce que c'est.
Je suis audacieuse, bénie et belle.
Il est mon fiancé. Je ne devrais pas avoir honte d'essayer de passer un peu de temps avec lui. Je respire profondément et dis, "J'espérais passer un peu de temps privé avec toi, Daniel."
Le sourire de Daniel fléchit pendant une seconde, mais il sourit à nouveau et dit, "Bien sûr."
"Buvez ici et nous pourrons finir tôt," dit-il à Naoko.
"Non, c'est bon ! Je devrais partir. Passez du temps privé !" Elle dit avec une expression durcie et part.
Je secoue la tête. Elle se comporte toujours superficiellement envers moi.
Qu'elle aille se faire voir.
Je n'ai pas besoin de gâcher mon humeur pour elle.
…
Après le dîner et quelques verres, nous sommes assis sur le canapé en regardant la télé. Je me sens plus audacieuse et sexy. Je penche pour un baiser, et Daniel me répond. Je sens sa verge dure avec mes mains. Quand je tâtonne pour ouvrir son pantalon, il tient ma main et dit, "Chérie... Je suis trop fatigué aujourd'hui..."
J'avale et hoche la tête. Ne réfléchis pas trop à ça.
Sois audacieuse. Sois audacieuse. Sois audacieuse.
"Je sais comment m'en occuper."
Je mouille mes lèvres et m'agenouille. Il inspire profondément quand j'ouvre son pantalon et lèche son sexe avec la pointe de ma langue. C'est l'affirmation dont j'ai besoin. Il me désire. Ce n'était juste qu'une période à vide, et je m'apprête à y mettre fin.
Je contrôle ma vie.
Je mouille rien qu'à cette pensée et le sang afflue vers mon clitoris.
J'enroule mes lèvres autour de son sexe et le suce comme si ma vie en dépendait. À chaque coup de langue que je donne, je ressens une vague d'excitation en moi. Mon clitoris pulser aussi. Je glisse ma main dans ma culotte pour me soulager tout en le caressant. Il gémit et renverse la tête en arrière. Je bouge ma tête en rythme pendant un long moment. Quand il est presque à bout, il attrape mes cheveux et accélère le mouvement de ma tête. Ses jambes tremblent alors qu'il décharge son sperme dans ma bouche. Je me frotte férocement pour jouir et bientôt, je dépasse moi aussi la limite.
Il me tire vers le haut et dit : "C'est la meilleure fellation que j'ai jamais reçue de ma vie!"
Je souris d'un air moqueur et me lève pour le soutenir. Nous dormons côte à côte la nuit. Nous ne faisons pas l'amour, mais je suis satisfaite.
