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Épouse Secrète, Véritable Milliardaire

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Milliardaire

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Introducción

"J'ai entendu dire que tu allais épouser Marceau. Est-ce peut-être ta revanche contre moi ? C'est très risible, Anneli. Cet homme peut à peine fonctionner." Sa famille d'accueil, son ex-infidèle, tout le monde pensait qu'Anneli allait vivre un enfer pur après s'être mariée à un homme handicapé et cruel. Elle ne savait pas si quelque chose de bon en sortirait, après tout, elle avait toujours pensé qu'il serait difficile pour quelqu'un de l'aimer, mais cet homme cruel avec des secrets sombres ne va jamais lui accorder un divorce, car elle le fait oublier comment respirer.
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Chapter 1

*Anneli*

*Tu es tellement prude, nous sommes ensemble depuis plus d'un an et tu ne me laisses pas te toucher. Tu n'as pas le droit de me blâmer d'avoir une liaison avec ta sœur !*

Ces paroles résonnaient encore et encore dans ma tête.

J'étais avec Claude Remy depuis presque un an. Notre union avait commencé par un rendez-vous arrangé par mes parents.

Mes parents voulaient à tout prix être liés à la famille Remy, la plus riche et la plus puissante de Chicago.

J'avais trouvé Claude sympathique mais je n'éprouvais pas pour lui ce profond amour spontané. Pourtant, mes parents m'avaient prévenue que je devais être avec lui et que je devais me marier avec lui. Nous étions fiancés et devions nous marier bientôt, lorsque je l'ai surpris en train de coucher avec ma sœur.

Certes, je n'avais jamais fait plus qu'embrasser Claude, mais j'étais convaincue qu'il comprenait que je voulais attendre jusqu'au mariage. Je pensais sincèrement qu'à ce moment-là, je tomberais peut-être réellement amoureuse de lui.

Même si je ne l'aimais pas, sa trahison m'a fait beaucoup de mal et il a eu le culot de me dire d'ignorer ce que j'avais vu.

Il a eu le culot de me réduire son infidélité à une peccadille.

Je ne suis peut-être pas une femme parfaite, mais je connais ma valeur. J'ai une grande estime de moi et je ne me contenterais jamais de moins.

J'ai dit clairement à Claude que c'était fini entre nous. Je ne voulais plus rien avoir à faire avec lui.

Mais la douleur de la rupture était encore très fraîche dans mon cœur. Surtout parce que je pensais que Claude allait me sauver des Aubert.

Je me suis appuyée contre la fenêtre avec désolation. J'étais dans un taxi quand j'ai aperçu un club.

Je me suis redressée et ai rapidement demandé au chauffeur de s'arrêter. Je voulais juste me distraire. Faire n'importe quoi pour surmonter cette douleur.

Je me suis précipitée vers l'entrée mais j'ai été arrêtée par deux videurs.

"Le club organise une soirée masquée ce soir. Tout le monde doit être masqué." Ils m'ont informé.

Soupirant, j'ai acheté un masque sur le côté, l'ai mis et suis entré dans le club.

Je suis immédiatement allé au comptoir où je me suis assis et j'ai commandé des boissons alcoolisées.

J'ai vidé bouteille après bouteille, voulant noyer mes chagrins.

Vaguement, j'ai remarqué un homme assis à côté de moi.

Il portait aussi un masque et sirotait élégamment son verre de vin.

Mes sens imbibés d'alcool ont remarqué à quel point il avait fière allure dans son costume. J'ai instantanément eu le sentiment qu'il devait avoir un très beau visage.

Alors que je continuais à le dévorer du regard, j'ai soudainement ressenti le désir d'être dans les bras d'un homme.

Dans mes vingt-deux ans de vie, c'était la première fois que je désirais autant d'intimité.

Sans réfléchir deux fois, pas que j'aurais été capable de réfléchir deux fois avec mon cerveau rempli d'alcool, je suis descendu de ma chaise et j'ai titubé vers lui.

"Bonjour là-bas." J'ai ronronné. "Tu veux passer la nuit avec moi ?"

L'homme ne m'a regardé qu'une seconde et à ma grande surprise, il a acquiescé.

*****************

Quelques minutes plus tard, nous sommes entrés dans une chambre d'hôtel.

Alors que l'homme allumait la lumière, j'ai réduit la distance entre nous, je suis montée sur la pointe de mes pieds et je l'ai embrassé. Il a enroulé ses bras autour de ma taille et m'a embrassé en retour, passionnément.

Alors qu'il mordillait mes lèvres encore et encore, je haletais.

"Devrions…devrions-nous enlever nos masques ?" Je bafouillais.

Je n'avais jamais fait cela auparavant, je ne savais pas si je préférais garder mon masque ou l'enlever.

L'homme recula un peu et enleva mon masque.

Je pouvais voir ses yeux se dilater derrière son masque.

Je m'attendais à ce qu'il enlève aussi son masque, mais il me demanda soudainement.

"Que faites-vous ici ?"

Je fronçai les sourcils, confuse.

Nous n'avions pas déjà établi pourquoi nous étions tous les deux ici ?

"Est-ce que vous écartez toujours vos jambes pour chaque homme au bar ?" L'homme m'attaqua à nouveau.

J'étais sûre que cet homme devait être fou ; quel droit avait-il de me juger ?

J'ai jeté un coup d'œil à ses abdominaux, avouant un désir ardent entre mes cuisses alors que je me souvenais de la rigidité contre moi quelques secondes plus tôt. Je le voulais. C'était un sentiment que Claude n'avait jamais réussi à susciter en moi, mais cela ne lui donnait pas une raison pour m'insulter !

Je ne comprenais pas dans quoi je m'étais embarquée !

"Et vous?! Ne sortez-vous pas votre phallus pour chaque femme au bar? Vous pensez que vous êtes un homme, donc vous pensez que vous êtes noble ?!" Mon désir a complètement disparu ; comment avais-je rencontré un homme si machiste ?!

Je pensais qu'il valait mieux que je parte.

"Je vais te commander un taxi. Pars dès qu'il arrive !" annonça l'homme en ouvrant son application de réservation de taxi.

Je n'ai pas refusé ; j'ai immédiatement quitté la pièce. Il me devait le tarif pour m'avoir insultée ! J'étais tellement en colère que j'ai oublié de demander des excuses !

***********

*Marceau*

Je me tenais près de la fenêtre en regardant Anneli Aubert monter dans le taxi que j'avais réservé.

Dieu merci, je lui avais ôté son masque.

J'ai failli avoir une aventure avec la fiancée de mon cousin. J'étais furieux plus tôt et j'avais pensé qu'elle avait peut-être prévu de me séduire.

Mais je savais que ce ne pouvait pas être le cas. Elle ne savait pas que c'était moi. Et je suis content de ne pas avoir enlevé mon masque. Sinon, elle aurait découvert mon secret.

J'espérais ne plus jamais la revoir. À cet instant, mon téléphone sonna, et la voix du majordome se fit entendre au bout du fil.

"Maître, votre mère envisage de vous trouver une épouse."

Je fermai les yeux, brièvement. Cette femme ne se lasse-t-elle donc jamais d'essayer de me marier ?

"Ne faites pas attention à elle." rétorquai-je avant de raccrocher.