Toute ma vie, je l'ai appelé papa et il me surnommait enfant. Je l'aime car il m'a toujours protégé. Toujours assuré mon bien-être. Carl Durand est ce que tout le monde souhaiterait avoir comme tuteur ou figure paternelle. J'étais seule lorsqu'il m'a récupérée auprès des services de protection de l'enfance pour devenir mon père adoptif.
Pour les autres, Carl Durand était impitoyable, insensible et brutal. Il tue sans pitié. Licencie sans remords. Blesse sans ciller. Si vous lui barrez la route, il massacre. Mais, il est encore plus brutal, mortel et violent quand il s'agit de moi.
Carl Durand est aussi connu pour être un grand coureur de jupons. Des rumeurs circulaient disant qu'il avait pris pour épouses quatre femmes. Aucune d'entre elles n'avait réussi à le dompter ni à supporter son côté brutal.
Mon dieu, mon père se prévaut d'un regard qui pourrait vous faire frissonner. Son abord était toujours froid. Il était toujours détaché.
Cependant, les femmes deviennent folles à la simple vue de lui. Il a un physique puissant. Beau comme un dieu… je veux dire, plus beau que n'importe quel dieu grec. Il mesure environ six pieds quatre. Vous pouvez imaginer comment je devais lever la tête lorsque je voulais le regarder de mes cinq pieds quatre.
Tous les tabloïds de toute l'Amérique le présentent comme le plus beau de l'état. Tous les blogs de potins font état du nombre de femmes qui ont le béguin pour lui... ouais, mon père est à ce point délicieux. Il est chaud. Sexy en diable.
Et pour couronner le tout, mon père est arrivé en tête de la liste Forbes des hommes les plus riches d'Amérique. C’est mon père. Puissant, beau, richissime.
Et alors que je lis tout cela sur mon père. Comme j'ai entendu comment les femmes gémissaient chaque fois qu'il les baisait brutalement, je souhaitais que ce soit moi. Je voulais voir de mes propres yeux qui est vraiment mon père.
Je veux dire, cet homme me rend humide. J'avais l'habitude de l'aimer comme mon père, mais tout a changé lorsque j'ai eu dix-huit ans. Mes hormones sont devenues plus prononcées, me rendant excitée comme jamais chaque fois que nous étions ensemble.
Je veux que mon papa me mette au lit.
Je veux que mon papa me taquine avec sa queue. Cette queue monstrueuse à lui.
Je me doigte toujours
en pensant à lui.
Je frotte toujours mon lit en imaginant sa grosse queue me dilater à l'extrême.
Je veux que mon papa me désire.
Mon vœu d'anniversaire pour mes dix-huit ans
était que mon papa me baise sans relâche. Je veux que mon papa concentre son attention sur moi et évite toutes les autres femmes.
Merde ! Les pensées à propos de mon papa m'envoient toujours des frissons de désir dans ma chatte. Je veux rien d'autre que de lui permettre de téter mes seins, tous les jours. Je veux que sa queue titille mon clito. Je veux être un réceptacle
pour son plaisir et lui le mien. Je veux que mon papa soit à moi et moi à lui.
Je sais que ce ne sera pas une tâche facile car
Carl Durand ne me voyait que comme sa fille ou du moins c'est ce que je pensais. Il ne me voyait que comme une gamine. Il pensait que je n'étais pas assez vieille pour avoir une sexualité. Il pense que je suis la fille qu'il a toujours protégée de sa vie immorale. Mais il ne sait pas que je connais son secret.
Il ne sait pas que je l'observe quand il baise les femmes dans son lit, gémissant de plaisir fou.
Je le regarde toujours les faire et je souhaite que ce soit moi. Je veux que ce soit moi, bon sang, ça me rend folle.
Je suis maintenant une nymphomane
juste à cause de mon papa. Je fais des choses sales juste pour me préparer au jour où il me fera l'amour. Mais l'homme n'a pas jeté un regard vers moi.
Il me traite excessivement comme si j'étais toujours la Livia qu'il a recueillie au CPS il y a des années. Mais, seule je sais que je ne suis plus cette fille.
Je suis maintenant une femme pleinement adulte. Une femme qui désire son homme. Une femme qui peut tout supporter de l’homme qu’elle aime.
Papa, viens donc dans mon lit !
Je ne vais pas arrêter de le tenter jusqu'à ce qu'il perde la tête et vienne vers moi.
Je ne vais pas arrêter de le torturer, de lui montrer comment mon corps a mûri au fil des années jusqu'à ce qu'il succombe et me fasse l'amour.
Je veux que mon papa, me titille.
Qu'il déguste mon essence.
Qu'il m'embrasse.
Et surtout, qu'il me rende sienne !
Oui, je vais être une tentation pour Carl Durand.
Dieu merci, sa tutelle sur moi prendra fin bientôt. Il arrêtera donc de penser que je suis un bébé.
Mon papa doit me faire sienne. Je dois être la femme de mon Carl !